Légende : Depuis la fin des années 1990, la “green-fluorescent protein” (GFP) de la méduse Aequorea Victoria et ses nombreux dérivés sont largement employés dans les laboratoires pour marquer des protéines dans les cellules vivantes et les visualiser ainsi directement en microscopie à fluorescence. Dans la méduse elle-même, la protéine GFP est située dans des taches discrètes situées en périphérie, à la base de son ombrelle. C’est un outil qui a véritablement révolutionné nos possibilités d’étude expérimentale dans bien des domaines de la biologie
science et vie du mois d'août : le cnidocyte de la méduse ( cellule urticante) propulse son filament urticant en 700 nanosecondes ! une tentacule de 10 m possède 750 000 cnidocytes..voilà une bestiole bien équipée !
Rédigé par : Durin | 14 septembre 2010 à 09:41
La mer et le sable ont change de couleur aussi , pas mal de vert pomme en Bretagne selon les cotes ....Le nouveau prédateur des océans : la méduse
Les méduses ont l'air tellement vulnérables ; elles n'ont ni locomotion rapide, ni dents, ni même un cerveau pour attraper leurs proies. Bien plus qu'une nuisance pour baigneurs, ces méduses n'en représentent pas moins une menace pour nos mers et océans. Leurs tailles peuvent aller du microscopique à des mètres de long. Le venin de ces animaux est parfois capable de tuer des créatures nettement plus grandes qu'elles-mêmes, dont des humains.
Les scientifiques commencent à comprendre que la méduse est une sorte de baromètre des océans. Elles pullulent en effet dans les endroits qui ont subi une attaque écologique, le plus souvent en raison des activités humaines. La surpêche en particulier laisse un vide que les méduses comblent très rapidement. Lorsque les eaux deviennent plus chaudes, elles se reproduisent et prolifèrent. Une nouvelle théorie suggère toutefois que les (microscopiques) méduses pourraient agir contre le réchauffement climatique en emportant les nutriments avec elles, en absorbant le CO2 et en régulant la température de l'eau. L'hypothèse est en cours de vérificatio
Rédigé par : El7feGardian | 14 septembre 2010 à 02:02
j'ai bien croisé 200 kgs de méduses échouées ( et des grosses) pendant mes vacances en Bretagne, elles n'avaient plus rien de fluo, et n'intéressaient même pas les goélands !
Rédigé par : Durin | 14 septembre 2010 à 00:50
Aequorea victoria est une méduse bioluminescente rencontrée sur les côtes ouest de l’Amérique du Nord.
Cette méduse est capable d’émettre une lumière fluorescente. Ces cellules contiennent une protéine, la GFP (Green Fluorescent Protein) qui, lorsqu’elle est excitée, émet de la lumière vers 504 nm. Cette protéine présente un intérêt en recherche en biologie en tant que marqueur.
Merci pou la reponse
Rédigé par : El7feGardian | 14 septembre 2010 à 00:40
On se demandait toujours à quoi pouvaient bien servir les méduses !!
Rédigé par : Durin | 13 septembre 2010 à 10:56